Nom: Ringëril
Prénom: Medwen Eàmanë
Âge: Elle a un âge considérablement élevé pour les mortels, mais dans son pays elle n’a que 19 ans
Type d’Elfe: Medwen est issu d’un mère Sindar et d’un père Noldor
Endroit ou vous vous situez: Lothlorien
Caractère: Eà est une jeune « fille » d’une sensibilité à fleur de peau. Elle a cependant apprit certaine technique de combats propre aux elfes et sait manier arc et flèches avec toute l’agilité de son espèce. Cet entraînement au combat a sut l’endurcir quelque peu . Elle est attachante une foie qu’on a sut l’approcher car, réticente au premier abord envers les Hommes, elle est d’une grande méfiance. Medwen insuffle la joie de vivre par sa bonne humeur quasi constante.
Physique: Eà se différencie des autres elfes par son physique pour le moins insolite, elle a bien entendu reçut la forme en pointe héréditaires des oreilles de son espèce mais elles sont nettement moins accentuées que la plupart. Ce qui est le plus étonnent serait probablement ses cheveux d’un rose pâle qui fond au soleil. Ses yeux limpides se mélangent dans une union parfaite de gris et de vert, ils semblent avoir déjà tout vu et reflète ses sentiments. Ils sont sans doute le points faible de la jeune elfe, miroir de ses émotions.
Histoire: Enfant illégitime, Medwen, de son prénom, est le semblant vivant d’une union entre deux espèces. Son père est un Noldor, traduit par Elfe Gris. Répondant sous les traits majestueux de Roi Finrond, frère de Galadriel, Dame de Loríen. Il entretenait une liaison interdite avec une dite Eàmanë(d’où le nom de sa fille) qui n’était autre qu’une lointaine descendante d’Isildur lui même. L’enfant qui fut engendré par cette union se fit dans un premier temps rejeter par ses deux parents, Medwen n’est donc pas déclarée et reste dans l’anonymat le plus total. La jeune héritière doit de ce fait confronter une mort certaine lorsqu' un miracle des plus improbables vient illuminé la vie de ce bambins en âge d’allaitement.
Galadriel avait été mise au courant de cet désinvolture d’un soir qui, neuf mois plus tard, avait coûté gros à son frère ainsi qu’à la femme qu’il avait prétendu aimer. La Dame de Loríen avait refusé qu’un être tant fragile et aux pouvoirs aussi grands meurt sous prétexte que deux jeunes fous avaient fait preuve d’un légèreté déconcertante. Finrond demeurait impassible, prétendant ne pas avoir le temps de s’occuper de cette jolie chose car le terrible serment qui le liait aux fils de Fëanor lui coûterait sûrement la vie. Mais ce ne fut pas l’avis d’Eàmanë, elle avait toujours désirer un enfant mais ces conditions l’importunait au plus au point. Son rang social voulait qu’elle éduque sa descendance maritalement, ce qui était délibérément impossible vu le froid laissé entre les jeunes parents. Cependant, prise d’un élan d’impertinence, elle prit Medwen sous son aile et la ramena avec elle à Fontcombe où elles ne restèrent que furtivement, le temps pour Med de tenir sur ses deux pattes. Cette dernière était vraiment précoce, elle semblait grandir à une vitesse affolante mais le plus douteux était sa facilité à manier l’arme. Elle arborait une silhouette fine et délicate, on aurait même dit qu’au moindre coup de vent elle s’effacerait. Mais comme les feuilles de Lothlórien, ce n’était pas une simple brise qui la ferait fléchir.
Eámanë et sa fille âgée pour l’équivalent humain de 5 ans se dirigèrent vers Valinor, au centre du pays d’Aman. On disait de la plus belle région qu’aie connu la Terre, c’était la terre des immortels où rien ne flétrit, où la maladie n’existait pas. Ces propos se révélèrent juste, jamais Medwen n’avait vu pareil endroit dont son père avait été l’un des premiers visiteurs. Non sans remords elle se souvint de ce dernier, jamais il ne l’avait accepté et il le lui avait fait savoir.
*Je te montrerais Roi Finrond, fils de Finarfin. Je te montrerais père que tu as commis une terrible erreur. Toi l’ami des humains qui m’a renié, tu te souviendras de ta fille comme d’une grande combatante.*
Mais ce que la jeune elfe ne savait pas aurait pu s’avéré désastreux. Non loin de là, le dit Ami des Humains jetait son dévolu sur une certaine Amarië et avait déjà oublié son existence passé.
Ce ne fut que lorsqu’elle acquit enfin le statut d’adolescente, ce qui équivaut à une longue période pour un elfe, que Medwen fut informée du mariage de son père. Bouleversé par le dédain total dont son père avait fait preuve à son égard elle décide de quitter Valinor pour continuer son apprentissage, bien qu’élevé du maniement d’armes et des modes de combats.
Et c’est avec Orcrist, dite la mordeuse, épée forgée à Gondolin, dont il était dit dans les chants que la lame brillait en présence de l’ennemi, qu’elle part en quête de savoir.
Familier: Eà possède une monture elfique, un cheval que lui à donner sa mère. Mais son plus fidèle compagnons reste sa louve grise Leoderon.
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