Arwen était couchée à l'ombre d'un saule pleureur qui dominait un place près de la terasse familiale. Le soleil brillait de plus en plus fort, il devait bientôt être la mi-journée. Ses yeux s'ouvrient alors à demi, ses joues étaient chaudes.
Elle ouvrit encore un peu les yeux jusqu'à ce que ces cils balaient ses paupières.
Elle avait un visage pur, les rayons du soleil semblaient la colorer, ici et-là, telle un artiste peignant sa toile avec précision.
Elle observa le paysage, elle ne s'imaginait pas, à cet instant que l'avenir profilait des heures sombres....